Festival: Mezi Ploty, c'est pour toute la famille

Et hop, devant le succès croissant de mon blog à travers le monde entier (oui oui, le monde entier), j'ai décidé d'ouvrir une toute nouvelle rubrique consacrée aux fesses t'y vaut (festivaux = pluriel de festival). Alors je ne vais évidemment pas vous parler de tous les festivals de tout Prague parce que d'abord c'est impossible, puis y a pas toujours des jolies photos (enfin parfois même pas de photos du tout, pas le droit, interdit), et puis j'y vais pas à tous non plus, pis enfin voilà, donc peut-être que celui dont je vais vous en parler maintenant sera le seul de la rubrique, qui sait (j'espère pas)?

Donc "Mezi Ploty", littéralement "entre les clôtures" (vous verrez après pourquoi) est un festival non estival mais printanier qui a lieu chaque année dans différentes villes de la République Tchèque. Mais celui de Prague est le plus connu, le plus fameux, et il dure deux jours contrairement à ceux des autres villes qui ne durent qu'une seule journée. Qu'est ce qu'on y trouve? Ben de tout, mais alors vraiment de tout, le souk de Marrakech, z'allez voir, j'vous explique.

D'abord l'entrée, en gros 250 CzK. Je dis en gros parce que c'est un peu moins si vous prenez le billet à l'avance, un peu plus si vous le prenez sur place, mais bon, hein, pour quelques couronnes, hein, non plus, donc en gros 250 CzK (en Euros? 8 EUR à la louche). Pis avec ça, vous pouvez y rester la journée entière, et comme chez Mickey, tout est compris (sauf le boire et le manger). Pis vous pouvez aussi ressortir, car on vous donnera un joli bracelet fluorescent à porter au poignet grâce auquel vous pourrez entrer et sortir durant toute la journée (très utile, pareil, vous verrez après pourquoi).

Qu'est-ce qu'on y voit? Ben surtout on y entend, parce qu'au départ c'était un festival de musique, mais maintenant c'est devenu une grande foire culturelle. Attention, quand je dis foire, c'est pas dans le sens négatif du terme, non non, foire dans le sens attraction, fête, festival, kermesse... Et donc on y entend principalement de la musique, des groupes connus et moins connus, principalement tchèques, mais également étrangers. Attention, U2, Rolling Stones et autres Michael Jackson n'y seront pas, c'est pas du tout l'esprit de ce festival. C'est plutôt musique pop, ethnique, un peu jazz, beaucoup blues, rock...

Qu'est ce qu'on y fait? Et au delà de la musique (j'adore cette expression "au delà de la", on pourrait dire "en plus", "en sus", "de surcroît", "outre"... mais non, "au delà de la" c'est mieux)... donc au delà de la musique, il y a du théâtre, de l'expression lyrique, des lectures, des pantomimes, des jeux pour jeunes, adultes et vieux... C'est justement le truc génial, que même si vous y venez en famille, vous trouverez de quoi occuper tous les membres. Il y a de la poterie à faire soi-même, avec une vraie roue de potier, un tablier de potier, et le gentil monsieur Potier qui t'explique et te montre comment faire une joli tasse à café pour papa, bien ronde, bien réussie, pas comme celle que tu fais avec la mère Lefèbvre en travaux pratiques pour la fête des pères, qui est toute tordue pas ronde et que la anse casse au moment ou papa porte la tasse de café bouillant à sa bouche tout en lisant le journal en habits de travail le matin avant d'aller au bureau. Pis l'y a l'atelier de bougies, pareil, et tu peux donc faire une jolie bougie énorme, pour maman, avec des couleurs bariolées et des formes poilantes, que quand elle est allumée la bougie, la cire coule sur le tapis persan en soie. Pis y a aussi... alors là c'est impressionnant...
la construction de cahutes de l'âge de la crotte de biques. Sauf qu'à la place de la crotte de biques, tu feras avec de la terre glaise, bon, faut s'adapter, progrès social et évolution que ça s'appelle... N'empêche que la technique reste pareille. Tu creuses un trou dans la terre de 3 mètres sur 2, profond de quelques 50 à 80 cm, tu construis par-dessus le trou une structure en bois genre tente canadienne (différente de tante brésilienne), sur la structure t'y mets des branchages et des feuilles, pis t'as plus qu'à colmater tout ça avec de la cro... de la terre glaise. Tu apprendras même à faire des meubles en rondins de bois, tables, chaises, pour y mettre dedans la cahute. Et après, Geronimo! tu peux carrément jouer dedans le reste de l'après-midi. Le seul truc, c'est que ça, ben tu peux pas l'emmener avec toi à la maison. Pis signalons encore l'atelier peinture (normal et sur son visage à soi, masques de chats...), sculpture sur bois (plutôt pour les plus grands)...

Où c'est? Alors là, oui, bien sûr, vous allez de suite comprendre pourquoi ça s'appelle comme ça, c'est à dire en français "entre les clôtures". Ben le festival se trouve en plein dans l'enceinte de l'hôpital psychiatrique du quartier de "Bohnice" (Prague 8). Et oui, en plein milieu des branques, des loufoques et des timbrés.
C'est un espace absolument énorme, plein de verdure, d'arbres, d'herbe touffue avec des bancs, des petites places, des jardins... enfin si vous faites abstraction de la fonction première du domaine (réserve naturelle pour louftingues), vous ne pouvez qu'apprécier le choix de l'emplacement. Le truc un peu... comment dire... enfin pas vraiment bizarre, disons... chais pas quel mot employer, déconcertétrange, voilà, j'ai trouvé, donc le truc un peu déconcertétrange, c'est qu'au milieu des participants se trouvent également les patients. Y en a des que z'êtes sûr, z'en sont de l'aliéné de la tirelire, par exemple la p'tite vieille se frayant un chemin dans la foule à grand renfort de gros mots bien vulgaires, vêtue d'un pardessus anti-pluie et tenant à pleine main son pébroque ouvert sous un soleil tapant à plus de 30 degrés. Pis y en a d'autres, des patients, que z'êtes pas vraiment sûr s'ils sont de la congrégation, genre les trois p'tits vieux en marcels-caleçons assis autour d'une table de jardin en plastique blanc et débattant avec les faiseurs de queue à la buvette du "traité établissant une Constitution pour l’Europe" (véridique). Mais jusque là ça va, c'est des trucs qu'on rencontre même des fois dans la rue, j'veux dire c'est pas choquant, bon, pas habituel de tous les jours, mais dans le métro, ici à Prague, on en voit des beaucoup pires. Et donc le plus déconcertétrange quand même, c'est qu'on se promène librement dans tout le domaine, et qu'à force de déambulation à la recherche de la saucisse grillée qui va bien, ben l'on tombe sur la réserve des vrais louftingues, qui eux ne peuvent pas se mélanger aux participants, les "à enfermer et garder bien dedans" et les "qui mordent faites gaffes aux mômes". Ceux-là, ils sont soit dans les jardins derrière des clôtures (nous y voilà, le nom du festival, le pourquoi) à hauteur d'homme, soit carrément dans les pavillons derrière des barreaux bien épais. Les "derrière les clôtures", bougent parfois désarticulément et vous adressent même la parole, genre "t'as pas une clope?", "et pour ma copine aussi?" (c'est curieux comme symptôme, si l'on enfermait pour ça, mendier des clopes, la moitié de Prague serait derrière les clôtures...
C'est là que j'me dis que j'ai bien fait d'arrêter de fumer, moi, chuis plus emmerdé maintenant), mais généralement restent sur leurs chaises légumineusement sans parler. Quant aux "derrière les barreaux", eux, ils ne parlent plus du tout, ils regardent n'importe où comme des illuminés (l'effet des tranquillisants?), parfois ils bavent comme les clébards d'IPP (Ivan Petrovich Pavlov) au bruit de la clochette, et émettent constamment des sons inintelligibles d'amplitudes diverses passant du gémissement étouffé au beuglement assourdissant. Et donc le déconcertétrange c'est qu'on a réellement la désagréable impression d'être au zoo du cirque, genre visite de la ménagerie, "ne jeter rien aux animaux", "ne mettez pas vos doigts au travers de la clôture", "tenez fermement vos enfants par la main", "attention, animal dangereux". Bref c'est vraiment pas coutumier comme exposition, et dans un cadre dirais-je "respect de la dignité humaine", chuis pas persuadé que ce soit le meilleur exemple pour les enfants. Dans un autre cadre, dirais-je "après tout c'est la réalisé et il y a bien pire à la télé", alors après tout, hein, somme toute, hop, on s'en fout des fous, devraient même être contents qu'ils aient de la visite une fois par an pour leur filer des clopes derrières la clôture, sans dec, pis on surveille déjà nos gosses pour qu'ils leur jettent pas des pierres alors faut pas déconner non plus, enfin quoi?

Qu'est ce qu'on y mange et qu'est ce qu'on y boit? Alors là pareil, comme avec les louftingues, c'est un mélange d'impressions positives et négatives, un méli-mélo de oui, de non, enfin c'est mitigé comme appréciation. Pour tout vous dire, concernant les boissons, il n'y a pas d'alcool à cause des jobards qui n'y ont pas droit (comme Obelix, ils sont tombés dedans quand ils étaient petits). Ca signifie que même en cherchant bien, partout dans tout le domaine, vous ne trouverez pas une seule bonne petite bière bien fraîche. Maintenant pour les intoxiqués du houblon dont je suis, il y a d'autres possibilités, malheureusement toutes avec des inconvénients. Premièrement, c'est de vous la ramener vous-même votre rôteuse, mais avec 30 degrés prévoyez une thermos, et même avec, chuis pas persuadé qu'elle restera fraîche bien longtemps (pis une thermos c'est petit pour toute une journée). Deuxièmement, ils ont quand même de la bière sans alcool, et en pression. Jamais vu ça auparavant, de la sans alcool pression, mais là si. Cependant malgré que ce soit la meilleure de toutes les sans alcools du marché ("Radegast", vraiment top moumoune lorsque vous conduisez et que vous avez une subite envie de "Knedlo-Zelo-Vepro" sur la route), la première ça va, curieusement bien, la deuxième moins, arrière-goût bizarre, et la troisième du tout (ça va plus du tout), franchement répugnante.
La troisième solution consiste à vous éclipser quelques minutes pour sortir de l'enceinte de l'établissement, et vous en jeter une vraie, une fraîche, une bien alcooloublonnée aux nombreux stands habilement disposés devant l'entrée de la louftinguerie pour les bièroxicomanes comme moi. Prévoir tout de même entre 15 et 60 minutes d'absence (selon où vous vous trouvez) incluant le déplacement, l'attente, la consommation et l'élimination. Concernant la bâfrée, c'est beaucoup mieux. Vous trouverez des saucisses grillées, des rouges et des blanches, des brochettes, des cuisses de poulets fumées et grillées, des côtes de porcs aux herbes, du jambon à l'os grillé, des poulets entiers grillés, des olives fraîches comme sur les marchés en Provence, des "döner kebab" (ou "kebap"? équivalent des "pita giros" en Grèce), des "bramboraky" (équivalent des "grumbeerekiechle" en Alsace, ou des "rosty" en Suisse), des "langoše" hongrois (équivalent des queues de castor "beaver tails" pannées au Canada)... Bref vous ne risquez pas de mourir de faim, de soif oui, mais de faim non. Par contre faut chercher, parce que tout n'est pas à la même place, et l'y en a des (stands) qui sont carrément à l'autre bout du domaine que si vous collez constamment à la sortie pour motif bibine z'avez aucune chance de tomber dessus (les stands), et ça serait dommage.

Les échoppes... eh oui, qui dit festival dit foule, et qui dit foule, ben dit vente de babioles et couillonneries de toutes sortes. Alors à titre d'exemple, vous pourrez acheter plein de trucmuches du meilleur au pire. Le pire étant par exemple ces binocles de soleil à 100 balles avec verres en plastique pourri déformé, qui non seulement ne filtrent aucun UV, mais abîment la vue plus vite que 10 litres d'absinthe méthanolée (devraient être interdites par la loi ces escroqueries pernicieusement nocives). Le meilleur étant, aussi par exemple, les confections en cuir véritable, genre bourses de tailles diverses pour monnaie sonante et très bûchante, sandales hippy imitation Jésus de Nazareth véritable, sacs à main pour maman, portefeuilles pour papa et autres ranges lunettes pour pépé-mémé. Pis aussi des objets en argent (le métal), genre bagues pour doigts de mains et de pieds, boucles d'oreilles pour oreilles, piercings pour n'importe où. Sans oublier les fourbis divers de l'enseigne "Sanu Babu", mélange de rastahippyethnossoixanthuitard totalement indéfinissable. Tiens, genre pour vous donner une idée, vous imaginez des caravanes de marchands... pas des modernes à double roues tirées par des Mercedes, des d'avant, à pieds, avec des chameaux, des dromadaires, des chevaux, des ânes, des mules, et des lamas (et des chiens qui aboient pour la faire passer), genre depuis la création du monde et du troc, jusqu'à l'invention de l'économie de marché et de la bourse mondiale en dollars...
donc vous imaginez ces caravanes en provenance de partout, d'Inde, de Chine, d'Indochine, du Népal, d'Afrique toute entière, pis un peu d'Amérique Latine, pis un peu de Golf Arabique, pis un peu de partout en Asie, pis un peu de n'importe où ailleurs, donc tout ça, vous le mettez dans une grande marmite, les bêtes, les gens, les produits, les épices, les encens, les tissus, les bijoux, les bois, tout tout tout, vous délayez à peine avec quelques lunettes rondes à John, quelques dread locks à Bob, du cigare cubain à Fidel, du pavé de Boulmiche, pis vous mélangez pendant plusieurs semaines avec une grande cuillère en bois, et le jus que vous allez en sortir, ce mélange indéfinissable de couleurs, d'odeurs, de cultures et d'histoire qui éveille les 5 sens à la fois et pète à la tête comme une bouffée de chichon trop concentrée, ben c'est ce que vous trouverez dans les magasins "Sanu Babu".

Puis l'y a des trucs divers qui méritent la visite. D'abord les filles superbes, Tchèques, en tenues légères, quand il fait beau et chaud, à ne manquer sous aucun prétexte. Prévoir les lunettes de soleil et les gouttes parce que ça pique les yeux ce genre de panorama. Pis l'y a les "Hare Krishna", ces bourricots d'ânes bâtés coiffés à la mode "peau d'mon cul" comme "Kwai Chang Caine" dans "Kung-Fu" (vous savez, le petit scarabée qui apprenait le "qu'à rater" de son maître Shaolin aveugle). Alors ceux-là, ils ne doivent pas manquer à la fête, forcément, ils sont comme à la maison dans l'asile, je me demande d'ailleurs comment ils font pour sortir après... Ils sont assis en groupe de 5 – 6 sur un tapis en poils de chousingha (petite antilope tétracère vivant en Inde et proche parent du nilgaut) tissés par les femmes de la communauté, à chanter toute la journée le fameux "Hare Krishna, Hare Krishna, Krishna Krishna, Hare Hare, Hare Rama, Hare Rama, Rama Rama, Hare Hare" avec un piano à soufflet, quelques tambourins, et beaucoup de zing zing pouet pouet tralala...
Et le pire, c'est qu'il y a des gens qui s'arrêtent pour les écouter, dingue! Bon la musique je ne dis pas, parce que je dois dire qu'ils font un effort quand même dans la mélodie, ils changent toutes les 3 heures, cependant 2 minutes suffisent, pas plus. Mais alors les paroles, alors là mon pauvre monsieur, ma pauvre dame, si vous saviez... c'est accablant d'ennui... et en plus c'est faux! Totalement incorrect, parce que la vraie version, l'unique, celle que l'on doit au roi "Prakshita" dans les "Shri Bhagavatam" aux éditions "Shukadeva", ben c'est "Hare Rama Hare Rama, Rama Rama, Hare Hare, Hare Krishna, Hare Krishna, Krishna Krishna, Hare Hare". Eh ouais, parce qu'avant "Krishna", dans la logique historique, il y avait "Rama", et ouais, "Rama", septième des dix avatars dans l'incarnation de "Vishnu", et "Krishna" huitième avatar, certes le plus important, mais huitième quand même, alors, hein, paf et toc. Eh, ils auraient lu le "Mahabharata" ces andouilles, ils le sauraient, alors que là, ils se ridiculisent devant tout le monde et les fous en particulier, les andouilles, z'avaient qu'à chanter "Trabadja la moukère..." au moins ils risquaient pas d'inverser avec les petits pois et les fayots. Andouilles!

Ah vouis, et surtout, vous y verrez dans l'enceinte un édifice remarquable de style "art nouveau" et peu évoqué, car rarement accessible surtout à l'intérieur, l'église "Svatého Václava" (St Venceslas). Elle fut construite entre 1911 et 1914 selon certaines sources, 1916 et 1920 selon d'autres, sous la direction du célèbre architecte "Václav Roštlapil" (contribution dans la "Maison Municipale", reconstruction du "Rudolfinum", du "Théâtre National de Brno"...). Richement décorée de fresques, statues et tableaux de maîtres de l'époque ("Kloučka", "Hergesel", "Hlavín", "Obrovského", "Úprka"...), il n'en reste malheureusement plus guère aujourd'hui. En effet entre 1951 et 1956 l'église fut intégrée (ainsi que d'autres édifices) dans le système de défense nationale anti-aérien, et passa sous contrôle du ministère de la défense. L'armée s'empressât de déporter les oeuvres qui s'y trouvaient dans des lieux aujourd'hui inconnus (les archives sont introuvables) et dévastât joyeusement l'intérieur du bâtiment si bien qu'il ne servit plus que d'entrepôt de tout, de rien, et de n'importe quoi jusqu'en 1990, date à laquelle commença enfin et à la demande de la direction de l'établissement psychiatrique, une rénovation complète de l'église qui fut réouverte en février 1993.

Sinon pour les mauvais côtés, signalons les files, partout, même pour la bière sans alcool (j'aurais jamais cru), pour la croûte (toute, même la pas bonne), pour les activités éducatives, pour les chiottes (ça c'est dingue, z'allez voir après pourquoi), partout partout, allant de quelques minutes à carrément une demi-heure et plus (la rançon du succès). Pis tiens, encore dans les aspects négatifs, les chiottes. Alors là, je ne vous dis même pas, c'est les armoires de campagne transportables en plastique, celles que l'on met à la disposition du public lors des grandes manifestations en plein air et qui après la troisième utilisation, c'est à dire 10 minutes après leur mise en service (tôt le matin), propres à l'origine, se retrouvent dans un tel état que même les "calliphora erythrocephala" (plus connues sous la dénomination populaire de "grosses mouches à merde dégueulasses") vont se restaurer ailleurs tellement elles ont peur de ne pas pouvoir finir (la rançon du succès). Bref je ne saurais que trop vous conseiller une abstinence certainement douloureuse mais opportune, ou vraiment en cas d'urgence absolue, les buissons. Vouis, encore les poubelles qui débordent, dommage pour un endroit aussi sympa, vert, végétal, naturel... Ils (organisateurs et/ou municipalité) auraient pu prévoir des ramassages réguliers (la rançon du succès, encore). Enfin eh, hein, pas grave, parce que bon, malgré les petits aspects pas terribles (les points à améliorer, on dit en management :-) ce festival est drôlement chouette (quand il fait beau parce que je n'imagine pas en cas de pluie) et c'est pour toute la famille, alors youpi hourra, dansons la carioca...

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