Visiter: Le château de Vyšehrad
Ben pour une fois, je vous ai mis plein de photos, des jolies tout plein que j'ai faites il y a quelques semaines (mais pas trop, 2 ou 3 semaines au plus, c'est encore bien frais). Que dire de "Vyšehrad" d'un point de vue historique, ben plein et pas grand-chose à la fois. Plein, parce que historiquement parlant, le site est remarquablement riche de souvenirs et de vécu. Mais je ne vais pas vous en parler car le site officiel est suffisamment explicite, bien fait, et il est de surcroît en Français, alors je ne vais pas réécrire ce qui est déjà écrit. Par contre aujourd'hui, il n'y a plus grand-chose à voir parce que le site fut administré par l'armée jusqu'en 1911, et vous savez ce que c'est l'armée, ils sont même foutus de vous esquinter une enclume à grands coups de bêtise (regardez la superbe église art nouveau de "Svatého Václava" à Bohnice). Pourquoi croyez-vous qu'ils les font blindés les véhicules militaires? Hein, ben tiens, pour qu'ils durent plus longtemps, eh... Bref, et donc parmi les trucs à voir, il y a le cimetière ("Vyšehradský hřbitov"). Personnellement, je préfère largement la compagnie des vivants que des morts, mais ce cimetière est à voir parce que premièrement il représente un magnifique exemple d'édifices funéraires de toutes époques, ensuite parce qu'il est pour la République Tchèque quelque chose comme le Père Lachaise (encore que ce dernier, c'est pas vraiment voulu au départ, qu'il soit aussi renommé). Ok, je conçois que pour vous les personnes enterrées à "Vyšehrad" ne représentent rien de concret car ce sont généralement des gens peu connus hors de notre République (c'est pas des Chopin, des Balzac, des Delacroix ni des Molière), mais pour les Tchèques, ils symbolisent la crème de la crème dans le domaine de l'art, de la culture, de la littérature, de la science, de l'architecture, du sport... Et encore quand je dis "peu connus hors de notre République", c'est pas forcément vrai, genre si vous avez un peu de curiosité (pour ne pas dire d'élevage ou d'éducation), il est des noms que vous avez inévitablement entendus un jour ou l'autre.
Tiens si je vous dis par exemple "Alfons Mucha", vous connaissez certainement, l'un des plus grands peintres "art nouveau" (sinon "LE" plus grand), les portraits de Sarah Bernhardt (qui repose au Père Lachaise :-) pour le Théâtre de la Renaissance (la Dame aux Camélias, Gismonda...), mais aussi costumes et bijoux (en particulier pour le joaillier Charles Fouquet, rue Royale). Les affiches pour la Samaritaine, pour le papier à cigarette Job (même si vous ne fumez pas), les biscuits Lefèvre, les champagnes Ruinart, Moët et Chandon, Heidsieck, ça vous parle, non? Bon alors essayons autre chose. Si vous avez fait un peu de biologie étant gamin, vous avez certainement entendu parler des fibres de Purkinje situées dans les parois internes des ventricules du cœur. Et les cellules de Purkinje dans le cervelet, ces cellules qui sont à l'origine du message cérébelleux efférent, non? Bon alors plus simple, le terme de "plasma" ce liquide clair mais compact qui est en fait le reste du sang séparé de ses cellules, tout ça (et autres choses encore) c'est au physiologiste expérimental "Jan Evangelista Purkyně" que nous le devons. "Antonín Dvorák", directeur du Conservatoire National de New York, il composera la fameuse symphonie du Nouveau Monde (en mi mineur, opus 95, 1893), ça vous devez nécessairement connaître. "Bedřich Smetana", ce suprême génie national qui composera le fameux "La Moldau" dans la suite des poèmes symphoniques "Ma Patrie", qui deviendra sourd, puis dément des suites de la syphilis et mourra dans un asile d'aliénés, ça ne vous dit rien? Et "Josef Gočár", la Maison "A Notre-Dame Noire", rue "Celetna", pis surtout le summum du rondocubisme (cubisme typiquement Tchèque, à sa propre sauce), tout le plan urbanistique de la ville de "Hradec Kralové" d'inspiration du Corbusier. Il remportera en 1925 à Paris le Grand Prix pour son pavillon tchécoslovaque et recevra en 1926 l'Ordre de la Légion d'honneur. "Jan Neruda", l'écrivain des fameuses histoires de "Malá Strana", qui donnera son pseudo à l'autre Neruda, le chilien "Pablo Neruda" (ou "Ricardo Eliezer Neftali Reyes" de son vrai nom), ambassadeur en France et prix Nobel de littérature en 1971 (le chilien, pas le tchèque depuis longtemps décédé, en 1891). Pis des un peu moins connus, tiens, si vous êtes déjà viendus à Prague, place Venceslas, le bon roi du même nom sur son canasson, en haut de l'avenue, devant le musée national, ben c'est de lui, "Josef Václav Myslbek". Ou encore toujours si vous êtes déjà viendus au moins en CZ, alors "Ema Destinnová", rien non plus? Et pourtant vous l'avez certainement tenue dans vos doigts car aujourd'hui son portrait se trouve sur nos biftons de 2000 CzK. La soprano Donna Anna dans Don Giovanni au Royal Opera House en 1904, la première à Londres de Madama Butterfly avec Caruso... Pis encore pour ceux qui sont passés par Prague au moins un jour, vous n'avez pas pu échapper au château (de Prague), et donc à la cathédrale St Guy, en plein centre (du château). Eh bien au fond de la cathédrale, au dessus du coeur, l'impressionnant triptyque de vitraux colorés, ben c'est de "Max Švabinský" (et il y en a aussi d'"Alfons Mucha", des vitraux, dans la cathédrale). Et la place de la vieille ville, vous n'avez pas pu y échapper non plus, la monumentale statue en bronze du recteur et doyen de l'Université Charles IV, maître "Jan Hus", hum... par qui? Par "Ladislav Jan Šaloun", inaugurée (la statue) en 1915 pour le demi millénaire de la mort du maître sur le bûcher à Constance. Tiens, et tant qu'on y est, "Ladislav" est aussi l'auteur du buste de "Dvorák" sur sa tombe (à "Antonín"), dans le cimetière. Puis "Karel Čapek", "Milada Horáková", "Božena Němcová", bon ok... ok... Ceux-là je veux bien que vous ne les connaissiez pas, mais pareil, ils reposent là-bas, dans le cimetière de "Vyšehrad", et il y en a plus de 600 en tout. Bon, maintenant comme dit, je ne vous force pas la main, hein... mais c'est une jolie balade. Pour les amateurs de macchabs, de sépulcres et de mausolées (ainsi que pour les nécrophiles :-), je vous joins encore un lien plus complet qui recense certaines autres "boîtes à bidoche froide" célèbres (avec photos). Moi je passe à autre chose maintenant, quelque chose de plus gai et de plus vivant, nan!
Et justement, dans la série des trucs gais et vivants, on trouve quoi... hum..., les buvettes, ouais, les buvettes c'est super chouette! Alors les buvettes à "Vyšehrad" c'est pas ce qui manque, vous en trouverez velues sous le coude, mais attention, toutes ne se valent pas, ouh que non. Alors commençons par celle que... disons... bon, j'aime pas dire du mal... alors disons... celle que vous pouvez éviter. Elle se trouve juste en face de l'église "Saints Pierre et Paul" (tiens, et est-ce qu'on ne dit pas plutôt "Saint Pierre et Saint Paul" en bon français?) que vous ne pouvez pas photographier de l'intérieur. D'ailleurs il ne s'agit pas que d'une buvette, mais aussi d'un restaurant. Je crois que c'est "Na Vyšehradě" mais pas sûr du tout car les "qui ne me plaisent pas" ne retiennent pas toujours mon attention. Enfin vous ne pouvez pas vous fourvoyer, c'est juste en face du parvis de l'église, et ils tournent de la "Krušovice" pression, ce qui somme toute ne serait pas un réel handicap en soi. Non, le réel problème c'est le prix (et la température). Je sais, saison touristique, site touristique (et encore pas tant que ça, car le château est quand même excentré par rapport au centre de Prague), mais quand même... Une "Krušovice" pression à 50 CzK, 4 bons degrés au-dessus de la température optimale, pour moi c'est à la limite de l'indécence, réellement. Tiens, je vous prends un exemple, à l'hippopotame, la "Prazdroj", Royce des Rolls de la bière, est servie à la perfection à température optimale pour 26 CzK. Alors hein, 'scusez-moi, mais flûte. Et l'hippo, c'est en... enfin c'est largement pas aussi excentré que le château de "Vyšehrad". Pour le reste chais pas, je n'y ai pas mangé vu que je ne pouvais pas y boire, alors donc ben chais pas, j'peux pas dire, mais essayez si vous voulez, si je me souviens bien, les plats avaient l'air intéressants (pour ceux qui sont prêts à y mettre quelques sous au-delà du correct).
Bon et sinon alors il y en a une autre, de buvette-restaurant, mais alors là, je suis infichu de vous dire comment elle s'appelle et où elle se trouve, parce ce que j'y suis allé en plein hiver pendant une tempête de neige par 20 cm au sol, les rennes et les pingouins volaient de partout tandis que mes oreilles étaient glacées comme des feuilles de "Grünkohl", donc ben mes sens de l'orientation ainsi que de l'observation (et mes roubignoles aussi) furent bougrement mis à mal par le froid. Ce que je sais par contre c'est qu'elle (buvette-restaurant) existe, qu'elle se trouve sur le site de la forteresse, et que je me souviens d'y avoir mangé et bu et que c'était recommandable. Ah oui et c'était aussi assez grand, ce n'était pas une cahute en bois genre buvette d'été (forcément, en hiver), mais une vraie maison en brique bien dure. Donc il ne vous reste plus qu'à chercher si vous en avez le courage. Mais je vous rassure, c'est pas trop grand (le site), alors vous trouverez obligatoirement, et sinon vous pouvez essayer autre chose, pis me laisser un commentaire pour me dire comment c'était, genre.
L'autre truc bougrement sympa à la citadelle de "Vyšehrad", c'est la vue, ou plutôt les vues, parce qu'il y en a plusieurs selon où que vous allez. Comme la forteresse est assez haute (comme le château de Prague), vous avez des vues imprenables sur 360 degrés, et croyez-moi par beau temps ça vaut la peine (et pour les furieux de photos panoramiques, n'oubliez pas votre trépied à tête pano sur rotule fluide à 3 positions de 2 niveaux avec niveaux à bulles intégrés). Au nord-est, églises et autres édifices de la ville nouvelle, à l'est la vallée et le pont de "Nusle" (par lequel vous êtes arrivés si vous avez pris le métro), au sud-est le quartier de "Podolí" et l'amont de la "Vltava", à l'ouest les quartiers "châteaux des donzelles" et la réserve naturelle de "Ctirad" (voir mon blog), et vers le nord-ouest l'aval de la rivière ("Vltava") avec tout au loin le château de Prague. Il vous faudra faire le tour des remparts du château parce que vous ne pourrez pas tout voir (ni photographier) d'un coup, mais bien placé (à la pointe nord-ouest), je vous garantis un bon 225 degrés. Ah oui, et si en plus vous faites ça au lever ou au coucher du soleil, avec quelques nuages rouges à l'horizon, alors je ne vous dis pas la photo du nom de d'là que vous allez vous offrir (mais c'est vraiment question de chance, comme toujours avec la météo).
Tiens si je vous dis par exemple "Alfons Mucha", vous connaissez certainement, l'un des plus grands peintres "art nouveau" (sinon "LE" plus grand), les portraits de Sarah Bernhardt (qui repose au Père Lachaise :-) pour le Théâtre de la Renaissance (la Dame aux Camélias, Gismonda...), mais aussi costumes et bijoux (en particulier pour le joaillier Charles Fouquet, rue Royale). Les affiches pour la Samaritaine, pour le papier à cigarette Job (même si vous ne fumez pas), les biscuits Lefèvre, les champagnes Ruinart, Moët et Chandon, Heidsieck, ça vous parle, non? Bon alors essayons autre chose. Si vous avez fait un peu de biologie étant gamin, vous avez certainement entendu parler des fibres de Purkinje situées dans les parois internes des ventricules du cœur. Et les cellules de Purkinje dans le cervelet, ces cellules qui sont à l'origine du message cérébelleux efférent, non? Bon alors plus simple, le terme de "plasma" ce liquide clair mais compact qui est en fait le reste du sang séparé de ses cellules, tout ça (et autres choses encore) c'est au physiologiste expérimental "Jan Evangelista Purkyně" que nous le devons. "Antonín Dvorák", directeur du Conservatoire National de New York, il composera la fameuse symphonie du Nouveau Monde (en mi mineur, opus 95, 1893), ça vous devez nécessairement connaître. "Bedřich Smetana", ce suprême génie national qui composera le fameux "La Moldau" dans la suite des poèmes symphoniques "Ma Patrie", qui deviendra sourd, puis dément des suites de la syphilis et mourra dans un asile d'aliénés, ça ne vous dit rien? Et "Josef Gočár", la Maison "A Notre-Dame Noire", rue "Celetna", pis surtout le summum du rondocubisme (cubisme typiquement Tchèque, à sa propre sauce), tout le plan urbanistique de la ville de "Hradec Kralové" d'inspiration du Corbusier. Il remportera en 1925 à Paris le Grand Prix pour son pavillon tchécoslovaque et recevra en 1926 l'Ordre de la Légion d'honneur. "Jan Neruda", l'écrivain des fameuses histoires de "Malá Strana", qui donnera son pseudo à l'autre Neruda, le chilien "Pablo Neruda" (ou "Ricardo Eliezer Neftali Reyes" de son vrai nom), ambassadeur en France et prix Nobel de littérature en 1971 (le chilien, pas le tchèque depuis longtemps décédé, en 1891). Pis des un peu moins connus, tiens, si vous êtes déjà viendus à Prague, place Venceslas, le bon roi du même nom sur son canasson, en haut de l'avenue, devant le musée national, ben c'est de lui, "Josef Václav Myslbek". Ou encore toujours si vous êtes déjà viendus au moins en CZ, alors "Ema Destinnová", rien non plus? Et pourtant vous l'avez certainement tenue dans vos doigts car aujourd'hui son portrait se trouve sur nos biftons de 2000 CzK. La soprano Donna Anna dans Don Giovanni au Royal Opera House en 1904, la première à Londres de Madama Butterfly avec Caruso... Pis encore pour ceux qui sont passés par Prague au moins un jour, vous n'avez pas pu échapper au château (de Prague), et donc à la cathédrale St Guy, en plein centre (du château). Eh bien au fond de la cathédrale, au dessus du coeur, l'impressionnant triptyque de vitraux colorés, ben c'est de "Max Švabinský" (et il y en a aussi d'"Alfons Mucha", des vitraux, dans la cathédrale). Et la place de la vieille ville, vous n'avez pas pu y échapper non plus, la monumentale statue en bronze du recteur et doyen de l'Université Charles IV, maître "Jan Hus", hum... par qui? Par "Ladislav Jan Šaloun", inaugurée (la statue) en 1915 pour le demi millénaire de la mort du maître sur le bûcher à Constance. Tiens, et tant qu'on y est, "Ladislav" est aussi l'auteur du buste de "Dvorák" sur sa tombe (à "Antonín"), dans le cimetière. Puis "Karel Čapek", "Milada Horáková", "Božena Němcová", bon ok... ok... Ceux-là je veux bien que vous ne les connaissiez pas, mais pareil, ils reposent là-bas, dans le cimetière de "Vyšehrad", et il y en a plus de 600 en tout. Bon, maintenant comme dit, je ne vous force pas la main, hein... mais c'est une jolie balade. Pour les amateurs de macchabs, de sépulcres et de mausolées (ainsi que pour les nécrophiles :-), je vous joins encore un lien plus complet qui recense certaines autres "boîtes à bidoche froide" célèbres (avec photos). Moi je passe à autre chose maintenant, quelque chose de plus gai et de plus vivant, nan!
Et justement, dans la série des trucs gais et vivants, on trouve quoi... hum..., les buvettes, ouais, les buvettes c'est super chouette! Alors les buvettes à "Vyšehrad" c'est pas ce qui manque, vous en trouverez velues sous le coude, mais attention, toutes ne se valent pas, ouh que non. Alors commençons par celle que... disons... bon, j'aime pas dire du mal... alors disons... celle que vous pouvez éviter. Elle se trouve juste en face de l'église "Saints Pierre et Paul" (tiens, et est-ce qu'on ne dit pas plutôt "Saint Pierre et Saint Paul" en bon français?) que vous ne pouvez pas photographier de l'intérieur. D'ailleurs il ne s'agit pas que d'une buvette, mais aussi d'un restaurant. Je crois que c'est "Na Vyšehradě" mais pas sûr du tout car les "qui ne me plaisent pas" ne retiennent pas toujours mon attention. Enfin vous ne pouvez pas vous fourvoyer, c'est juste en face du parvis de l'église, et ils tournent de la "Krušovice" pression, ce qui somme toute ne serait pas un réel handicap en soi. Non, le réel problème c'est le prix (et la température). Je sais, saison touristique, site touristique (et encore pas tant que ça, car le château est quand même excentré par rapport au centre de Prague), mais quand même... Une "Krušovice" pression à 50 CzK, 4 bons degrés au-dessus de la température optimale, pour moi c'est à la limite de l'indécence, réellement. Tiens, je vous prends un exemple, à l'hippopotame, la "Prazdroj", Royce des Rolls de la bière, est servie à la perfection à température optimale pour 26 CzK. Alors hein, 'scusez-moi, mais flûte. Et l'hippo, c'est en... enfin c'est largement pas aussi excentré que le château de "Vyšehrad". Pour le reste chais pas, je n'y ai pas mangé vu que je ne pouvais pas y boire, alors donc ben chais pas, j'peux pas dire, mais essayez si vous voulez, si je me souviens bien, les plats avaient l'air intéressants (pour ceux qui sont prêts à y mettre quelques sous au-delà du correct).
Bon et sinon alors il y en a une autre, de buvette-restaurant, mais alors là, je suis infichu de vous dire comment elle s'appelle et où elle se trouve, parce ce que j'y suis allé en plein hiver pendant une tempête de neige par 20 cm au sol, les rennes et les pingouins volaient de partout tandis que mes oreilles étaient glacées comme des feuilles de "Grünkohl", donc ben mes sens de l'orientation ainsi que de l'observation (et mes roubignoles aussi) furent bougrement mis à mal par le froid. Ce que je sais par contre c'est qu'elle (buvette-restaurant) existe, qu'elle se trouve sur le site de la forteresse, et que je me souviens d'y avoir mangé et bu et que c'était recommandable. Ah oui et c'était aussi assez grand, ce n'était pas une cahute en bois genre buvette d'été (forcément, en hiver), mais une vraie maison en brique bien dure. Donc il ne vous reste plus qu'à chercher si vous en avez le courage. Mais je vous rassure, c'est pas trop grand (le site), alors vous trouverez obligatoirement, et sinon vous pouvez essayer autre chose, pis me laisser un commentaire pour me dire comment c'était, genre.
L'autre truc bougrement sympa à la citadelle de "Vyšehrad", c'est la vue, ou plutôt les vues, parce qu'il y en a plusieurs selon où que vous allez. Comme la forteresse est assez haute (comme le château de Prague), vous avez des vues imprenables sur 360 degrés, et croyez-moi par beau temps ça vaut la peine (et pour les furieux de photos panoramiques, n'oubliez pas votre trépied à tête pano sur rotule fluide à 3 positions de 2 niveaux avec niveaux à bulles intégrés). Au nord-est, églises et autres édifices de la ville nouvelle, à l'est la vallée et le pont de "Nusle" (par lequel vous êtes arrivés si vous avez pris le métro), au sud-est le quartier de "Podolí" et l'amont de la "Vltava", à l'ouest les quartiers "châteaux des donzelles" et la réserve naturelle de "Ctirad" (voir mon blog), et vers le nord-ouest l'aval de la rivière ("Vltava") avec tout au loin le château de Prague. Il vous faudra faire le tour des remparts du château parce que vous ne pourrez pas tout voir (ni photographier) d'un coup, mais bien placé (à la pointe nord-ouest), je vous garantis un bon 225 degrés. Ah oui, et si en plus vous faites ça au lever ou au coucher du soleil, avec quelques nuages rouges à l'horizon, alors je ne vous dis pas la photo du nom de d'là que vous allez vous offrir (mais c'est vraiment question de chance, comme toujours avec la météo).
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