Coup de gueule: Les compagnies aériennes
Et donc ben je rentre de vacances comme sans doute tout un chacun, eh oui, lecteur assidu de mon fantastique blog, et c'est ce qui explique la faible abondance de mes publications du mois d'août, carence qui n'aura sûrement pas échappée à ta sagacité. Mais bon, je suis de retour maintenant, et donc les publications devraient naturellement reprendre au rythme habituel et moyen d'une publication hebdromadaire par semaine (soit quadrimenstruel, c'est à dire environ 4 publis par mois, globalement en gros). Et aujourd'hui, même si le sujet n'est pas tout à fait Prague (et que ce ne sera pas la première fois non plus), il s'en rapproche fichtrement, d'autant plus que nombre d'entres-vous seront confrontés à ce sujet grave pour peu qu'ils viennent à Prague en avion. Donc aujourd'hui, les compagnies aériennes, les hyènes.
Alors oui, je sais, c'est un sujet dont j'ai déjà débattu dans une publi précédente et récente dans mon autre blog "sans forcément de rapport avec Prague" (pour ceux qui savent qu'il existe et qui le lisent), mais aujourd'hui je souhaite enfoncer le point sur le clou car quand même, au bout d'un moment, faut arrêter de prendre les cons pour des imbéciles. Sans blagues.
Donc allez hop, une couche supplémentaire de calomnies médisantes sur les services de 2 compagnies (mais il y en a plein d'autres) qui desservent Prague, "Air France" et "CSA" (prononcer "tchè-êsse-a" car ça s'abrévie "ČSA", normalement) que j'ai personnellement eu l'occasion de tester plusieurs fois (les autres j'en parle pas, chais pas comment c'est, remarque pour calomnier médisamment c'est pas important me direz-vous, mais bon, non, soyons honnête, je ne vais pas vilipender les autres compagnies que je ne connais pas). A signaler que ces 2 sociétés font partie de l'alliance "Sky Team", ce qui fait que les billets sont exactement au même prix, alors que les services sont notablement différents comme vous allez vous en apercevoir. Et le summum de la débilité pour embrouiller définitivement l'andouille que je suis: vous trouverez les 2 compagnies sur la liste des vols, à la même date, à la même heure, vers la même destination, mais sous des numéros de vols différents, pour que ce soit bien clair et bien confus. Tiens, faites le test, allez voir sur Sky Team, sélectionnez un vol de Prague vers Paris à n'importe quelle date, vous verrez, sur certains horaires vous aurez un vol OK (c'est CSA, faut le savoir) et exactement à la même heure un vol AF (c'est Air France, évidemment, ben tiens). Et pour les ingénieux petits malins qui en toute logique pourraient penser qu'il s'agit bien de 2 avions, affrétés par 2 compagnies différentes à la même heure, et qui vont joyeusement se taper la bourre à celui qui arrivera le plus vite à destination au grand bonheur des mouflets hilares se taquinant mutuellement derrière les hublots, eh bien non, pas du tout, c'est un seul avion, unique, qui vole sous les couleurs de la compagnie qui n'a pas marqué "OP" derrière son numéro de vol. Ah ben ça, c'est sûr que la simplicité de l'évidence est mise à rude épreuve, mais que voulez-vous, en des temps où l'on soumet un "Traité... constitution... Europe" de 500 pages bien absconses à l'approbation de la sotte population, on n'est plus en droit de s'étonner de quoi que ce soit. Désormais braves gens, la jobarde simplicité est reléguée au chapitre du silex, de la chasse à l'arc et de la cueillette à mains nues, aussi faites vous une raison, seuls les esprits les plus brillants, les plus érudits seront à même de survivre dans la jungle technologiquintellectuelle que nous léguerons à nos enfants. Avé monde cruel, morituri te salutant.
Bien, après ces quelques notes bien optimistes sur le futur de notre avenir, attaquons le vif du sujet: médisances calomnieuses et dénigrements diffamatoires de 2 compagnies aériennes. Commençons par Air France, hop, comme ça, genre pourquoi pas... Alors Air France, c'est simple, j'aime pas. J'aime pas leurs minables canettes de 25cl de Kronenbourg (enfin 1664 quand même, faut pas déconner non plus), j'aime pas leurs minables canettes de 20cl de soft drink (à quand les plus petites encore?), et je déteste leurs minables sachets de 26 bretzels panachés ou de 2 biscottes bretonnes au beurre, au choix (mais pas les 2, ou alors faut faire les yeux doux à l'hôtesse). Alors ici j'ouvre une parenthèse qui s'impose. "Bretzel" est un substantif masculin, et on dit donc "un bretzel" et pas "une bretzelle", contrairement à "bréchalle", "bréchelle", ou "brichelle", en dialecte de la Suisse romande, qui lui est féminin et dont le mot "bretzel" est issu (chuis pas sû', mais je crois, Pavle, corrige-moi please si je me plante, merci :-) Fin de parenthèse. Pis une fois que vous avez eu votre canette, c'est fini, on ramasse les détritus et n'espérez pas avoir une tasse de café pour faire glisser le frugal bouche-carie, nenni. Bon, ce qui est plutôt sympa, c'est vrai, c'est l'affabilité du personnel, ça on ne peut pas se plaindre, c'est bien, mais bon, ça ne compense pas les minables kro-bretzels.
Pis de l'autre côté, z'avez CSA. Ah ben ça, c'est autre chose CSA, ah ben vouis alors. D'abord la semaine dernière, on a eu carrément un plateau repas, et c'était même pas à midi, mais à 10 heures du matin, comme quoi, hein, ce n'est pas réservé qu'aux bienheureux chançards qui voyagent au bon moment. Et maintenant tiendez-vous bien et lisez doucement, inventaire indispensable pour vous mettre la bière à la bouche: donc un beurre et une confiote style petit déjeuner au café chez Marcel, 2 petits pains frais (si si, réellement frais) de la taille d'une pomme, une tomate cerise fraîche, une tranche lavée de laitue véritable, 3 vraies tranches de fromage style goudappenzeller & mintal de 2 bons millimètres la tranche, 3 vraies tranches de fausse saucisse reconstituée style "morte Adele" avec des bouts d'olives vertes, de poivrons rouges et de champignons de Paris marron clair, pareil, 2 bons millimètres la tranche, et en dessert (ben oui mon bon m'sieur, ben oui ma brave dame, il y avait même un dessert), une véritable salade de fruits (jolijolijoli, tuplêzamamêreu, tuplêzamonpêreu et de l'ananas aussi...), pis des vrais couverts en inox et pas en plastique blanc mou style "déjeuner au camping de la plage", genre. Tiens, d'ailleurs je vous ai trouvé des photos (et des appréciations) que vous ne disiez pas que je fais les choses qu'à moitié. Et ce qu'on a reçu l'aut'jour en plateau repas, c'est quelque chose entre la photo 019 et la photo 008, genre, pour vous donner une idée. Et tandis qu'une petite distribuait la bouffetance, une autre (petite) distribuait le remontant. Bougrement bien organisées qu'elles étaient les guêpes, et prestes:
Elle: "Vous désirez une boisson Monsieur?"
Moi: "Mais certainement Mademoiselle, une bière s'il vous plait"
Elle: "Prazdroj ou Radegast?" Et là, ça scie n'importe qui, parce que non seulement que encore même, mais en plus pareil d'ailleurs que. Dingue! Non mais sans dec, vous avez le choix (de la bière), c'est surnaturel, thaumaturgique, mes sels, je faillis...
Moi: "Prazdroj", et elle me tend la splendide canette blanche et verte flanquée de l'inimitable sceau rouge, voilé (le sceau) par la condensation attestant de la fraîcheur optimale du breuvage. Et 33cl la canette, eh ouais, et pas 25 petits misérables centilitres de Krominable (ou nenbourg, pareil). Non, 33 authentiques centilitres du plus pur nectar de Bohême maintes fois imité, jamais approché, même de loin. Comment vous décrire cette sensation exceptionnelle de la noble boisson incomparablement épicée par la saveur unique du houblon de Saaz ("Žatecký chmel"), après avoir bu pendant 2 semaines le plus immonde (car le moins cher et malgré cela hors de prix) breuvage issu des brasseries Kro dont j'ai oublié jusqu'à la sous-marque à consonance allemande?
Mais ce n'est pas tout, restez accrochés à quoi que c'est que vous vous tenez, car après avoir goulûment savouré mes "sandwichs" ainsi que ceux de ma "drahá brusinka", volontiers échangés contre la salade de fruits (jolijolijoli, tuplêza...), les petites refirent un passage non pas pour nous houspiller des yeux de ne pas avoir englouti notre collation en 2 minutes, mais pour nous proposer aimablement une autre boisson, chaude cette fois, parmi thé, café, ou chocolat, et voilà. Sinon pour les éléments d'amélioration (comme on dit en management positiviste de l'accompagnement du blanc-bec dans sa carrière de cadre dit "rigeant"), il y a d'abord la tout nue (tenue) des petites, qui est d'un... comment dire... genre... enfin c'est pas comme chez "Virgin", parce que les uniformes de chez "Virgin", c'est de la bombe à donf, le top high level du benchmark de la fringue pour hôtesse de l'air (m'afro, dites). Pis l'y a le sourire, alors ça, mais c'est dingue à dire, c'est vraiment une pathologie très Tchèque à soigner bride abattue, parce qu'alors ça, mais c'est dingue à dire, c'est vraiment pas normal du tout du tout. Sympa les petites j'veux dire, bien, serviables comme il faut, mais sans sourire (ou rarement), la façade inexpressive de l'immeuble sans caractère, genre "fais gaffe aux rides ma chérie" (encore que les rides, hein, quand on a la prunelle glauque, la croupe flasque, le jambon adipeux, la berdouille boursouflée, et la mamelle pendante, on n'en est pas aux rides près).
Alors voilà, après avoir pesé les points forts et les éléments d'amélioration, en ce qui me concerne, je préfère donc nettement CSA, mais comme dit, c'est une affaire de goût. Apres tout, hein, on n'est pas tous pareil, et à chacun de fixer ses priorités quant à sa satisfaction (ou non) d'un service. Le truc aujourd'hui qui me navre, c'est que plus ça va, et moins on dispose de choix. C'est quand même terrible de rentrer dans une agence CSA pour acheter son billet pour finalement voler avec Air France. C'est comme si vous entriez dans une succursale Renault pour acheter une bagnole et repartiez au volant d'une Peugeot. Chais pas, moi ça me semble bizarre, surtout pour les inconditionnels d'une marque, mais après tout, c'est peut-être cela la mondialisation?
Alors oui, je sais, c'est un sujet dont j'ai déjà débattu dans une publi précédente et récente dans mon autre blog "sans forcément de rapport avec Prague" (pour ceux qui savent qu'il existe et qui le lisent), mais aujourd'hui je souhaite enfoncer le point sur le clou car quand même, au bout d'un moment, faut arrêter de prendre les cons pour des imbéciles. Sans blagues.
Donc allez hop, une couche supplémentaire de calomnies médisantes sur les services de 2 compagnies (mais il y en a plein d'autres) qui desservent Prague, "Air France" et "CSA" (prononcer "tchè-êsse-a" car ça s'abrévie "ČSA", normalement) que j'ai personnellement eu l'occasion de tester plusieurs fois (les autres j'en parle pas, chais pas comment c'est, remarque pour calomnier médisamment c'est pas important me direz-vous, mais bon, non, soyons honnête, je ne vais pas vilipender les autres compagnies que je ne connais pas). A signaler que ces 2 sociétés font partie de l'alliance "Sky Team", ce qui fait que les billets sont exactement au même prix, alors que les services sont notablement différents comme vous allez vous en apercevoir. Et le summum de la débilité pour embrouiller définitivement l'andouille que je suis: vous trouverez les 2 compagnies sur la liste des vols, à la même date, à la même heure, vers la même destination, mais sous des numéros de vols différents, pour que ce soit bien clair et bien confus. Tiens, faites le test, allez voir sur Sky Team, sélectionnez un vol de Prague vers Paris à n'importe quelle date, vous verrez, sur certains horaires vous aurez un vol OK (c'est CSA, faut le savoir) et exactement à la même heure un vol AF (c'est Air France, évidemment, ben tiens). Et pour les ingénieux petits malins qui en toute logique pourraient penser qu'il s'agit bien de 2 avions, affrétés par 2 compagnies différentes à la même heure, et qui vont joyeusement se taper la bourre à celui qui arrivera le plus vite à destination au grand bonheur des mouflets hilares se taquinant mutuellement derrière les hublots, eh bien non, pas du tout, c'est un seul avion, unique, qui vole sous les couleurs de la compagnie qui n'a pas marqué "OP" derrière son numéro de vol. Ah ben ça, c'est sûr que la simplicité de l'évidence est mise à rude épreuve, mais que voulez-vous, en des temps où l'on soumet un "Traité... constitution... Europe" de 500 pages bien absconses à l'approbation de la sotte population, on n'est plus en droit de s'étonner de quoi que ce soit. Désormais braves gens, la jobarde simplicité est reléguée au chapitre du silex, de la chasse à l'arc et de la cueillette à mains nues, aussi faites vous une raison, seuls les esprits les plus brillants, les plus érudits seront à même de survivre dans la jungle technologiquintellectuelle que nous léguerons à nos enfants. Avé monde cruel, morituri te salutant.
Bien, après ces quelques notes bien optimistes sur le futur de notre avenir, attaquons le vif du sujet: médisances calomnieuses et dénigrements diffamatoires de 2 compagnies aériennes. Commençons par Air France, hop, comme ça, genre pourquoi pas... Alors Air France, c'est simple, j'aime pas. J'aime pas leurs minables canettes de 25cl de Kronenbourg (enfin 1664 quand même, faut pas déconner non plus), j'aime pas leurs minables canettes de 20cl de soft drink (à quand les plus petites encore?), et je déteste leurs minables sachets de 26 bretzels panachés ou de 2 biscottes bretonnes au beurre, au choix (mais pas les 2, ou alors faut faire les yeux doux à l'hôtesse). Alors ici j'ouvre une parenthèse qui s'impose. "Bretzel" est un substantif masculin, et on dit donc "un bretzel" et pas "une bretzelle", contrairement à "bréchalle", "bréchelle", ou "brichelle", en dialecte de la Suisse romande, qui lui est féminin et dont le mot "bretzel" est issu (chuis pas sû', mais je crois, Pavle, corrige-moi please si je me plante, merci :-) Fin de parenthèse. Pis une fois que vous avez eu votre canette, c'est fini, on ramasse les détritus et n'espérez pas avoir une tasse de café pour faire glisser le frugal bouche-carie, nenni. Bon, ce qui est plutôt sympa, c'est vrai, c'est l'affabilité du personnel, ça on ne peut pas se plaindre, c'est bien, mais bon, ça ne compense pas les minables kro-bretzels.
Pis de l'autre côté, z'avez CSA. Ah ben ça, c'est autre chose CSA, ah ben vouis alors. D'abord la semaine dernière, on a eu carrément un plateau repas, et c'était même pas à midi, mais à 10 heures du matin, comme quoi, hein, ce n'est pas réservé qu'aux bienheureux chançards qui voyagent au bon moment. Et maintenant tiendez-vous bien et lisez doucement, inventaire indispensable pour vous mettre la bière à la bouche: donc un beurre et une confiote style petit déjeuner au café chez Marcel, 2 petits pains frais (si si, réellement frais) de la taille d'une pomme, une tomate cerise fraîche, une tranche lavée de laitue véritable, 3 vraies tranches de fromage style goudappenzeller & mintal de 2 bons millimètres la tranche, 3 vraies tranches de fausse saucisse reconstituée style "morte Adele" avec des bouts d'olives vertes, de poivrons rouges et de champignons de Paris marron clair, pareil, 2 bons millimètres la tranche, et en dessert (ben oui mon bon m'sieur, ben oui ma brave dame, il y avait même un dessert), une véritable salade de fruits (jolijolijoli, tuplêzamamêreu, tuplêzamonpêreu et de l'ananas aussi...), pis des vrais couverts en inox et pas en plastique blanc mou style "déjeuner au camping de la plage", genre. Tiens, d'ailleurs je vous ai trouvé des photos (et des appréciations) que vous ne disiez pas que je fais les choses qu'à moitié. Et ce qu'on a reçu l'aut'jour en plateau repas, c'est quelque chose entre la photo 019 et la photo 008, genre, pour vous donner une idée. Et tandis qu'une petite distribuait la bouffetance, une autre (petite) distribuait le remontant. Bougrement bien organisées qu'elles étaient les guêpes, et prestes:
Elle: "Vous désirez une boisson Monsieur?"
Moi: "Mais certainement Mademoiselle, une bière s'il vous plait"
Elle: "Prazdroj ou Radegast?" Et là, ça scie n'importe qui, parce que non seulement que encore même, mais en plus pareil d'ailleurs que. Dingue! Non mais sans dec, vous avez le choix (de la bière), c'est surnaturel, thaumaturgique, mes sels, je faillis...
Moi: "Prazdroj", et elle me tend la splendide canette blanche et verte flanquée de l'inimitable sceau rouge, voilé (le sceau) par la condensation attestant de la fraîcheur optimale du breuvage. Et 33cl la canette, eh ouais, et pas 25 petits misérables centilitres de Krominable (ou nenbourg, pareil). Non, 33 authentiques centilitres du plus pur nectar de Bohême maintes fois imité, jamais approché, même de loin. Comment vous décrire cette sensation exceptionnelle de la noble boisson incomparablement épicée par la saveur unique du houblon de Saaz ("Žatecký chmel"), après avoir bu pendant 2 semaines le plus immonde (car le moins cher et malgré cela hors de prix) breuvage issu des brasseries Kro dont j'ai oublié jusqu'à la sous-marque à consonance allemande?
Mais ce n'est pas tout, restez accrochés à quoi que c'est que vous vous tenez, car après avoir goulûment savouré mes "sandwichs" ainsi que ceux de ma "drahá brusinka", volontiers échangés contre la salade de fruits (jolijolijoli, tuplêza...), les petites refirent un passage non pas pour nous houspiller des yeux de ne pas avoir englouti notre collation en 2 minutes, mais pour nous proposer aimablement une autre boisson, chaude cette fois, parmi thé, café, ou chocolat, et voilà. Sinon pour les éléments d'amélioration (comme on dit en management positiviste de l'accompagnement du blanc-bec dans sa carrière de cadre dit "rigeant"), il y a d'abord la tout nue (tenue) des petites, qui est d'un... comment dire... genre... enfin c'est pas comme chez "Virgin", parce que les uniformes de chez "Virgin", c'est de la bombe à donf, le top high level du benchmark de la fringue pour hôtesse de l'air (m'afro, dites). Pis l'y a le sourire, alors ça, mais c'est dingue à dire, c'est vraiment une pathologie très Tchèque à soigner bride abattue, parce qu'alors ça, mais c'est dingue à dire, c'est vraiment pas normal du tout du tout. Sympa les petites j'veux dire, bien, serviables comme il faut, mais sans sourire (ou rarement), la façade inexpressive de l'immeuble sans caractère, genre "fais gaffe aux rides ma chérie" (encore que les rides, hein, quand on a la prunelle glauque, la croupe flasque, le jambon adipeux, la berdouille boursouflée, et la mamelle pendante, on n'en est pas aux rides près).
Alors voilà, après avoir pesé les points forts et les éléments d'amélioration, en ce qui me concerne, je préfère donc nettement CSA, mais comme dit, c'est une affaire de goût. Apres tout, hein, on n'est pas tous pareil, et à chacun de fixer ses priorités quant à sa satisfaction (ou non) d'un service. Le truc aujourd'hui qui me navre, c'est que plus ça va, et moins on dispose de choix. C'est quand même terrible de rentrer dans une agence CSA pour acheter son billet pour finalement voler avec Air France. C'est comme si vous entriez dans une succursale Renault pour acheter une bagnole et repartiez au volant d'une Peugeot. Chais pas, moi ça me semble bizarre, surtout pour les inconditionnels d'une marque, mais après tout, c'est peut-être cela la mondialisation?
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