Visiter: Le musée de la ville de Prague
Donc on y est allé, comme ça pour voir, parce que ça faisait partie des choses que l'on n'avait pas encore vues, et on s'était dit, tiens... et pourquoi pas après tout? Donc ben voilà, oui, bon, ben en 3 mots: c'est pas terrible. Genre allez-y quand il fait froid dehors et qu'il pleut, mais sinon il y a plein d'autres choses à voir dans Prague, plus mieux les choses. Maintenant je ne vais pas vous dire de ne pas y aller non plus, parce qu'au prix que ça coûte, faut pas se priver, pis il y a quand même des choses intéressantes, mais bon, les gnafrons ne vont pas y voir des Goldorak ni des Mickey, donc si vos bambins sont exigeants en attraction, évitez d'y aller avec eux.
Pour les photos du dedans, vous pouvez essayer d'en faire moyennant une petite contribution (50 CzK, soit quelques 1,67€). Mais je vous préviens de suite, ils font tout pour que vous n'arriviez pas en faire de bonnes, de photos réussies. D'abord vous ne pouvez pas utiliser le flash, il paraîtrait que ça abîmerait les pièces exposées, même les moches. Vous ne pouvez pas non plus utiliser un trépied, il paraîtrait que ça rayerait le parquet, même avec des petits caoutchoucs au bout des pieds, comme mon statif à moi. Et pour combler le tout, ils laissent rentrer des meutes entières de p'tits vieux béquillards et stropiés qui font rien que de passer devant l'objectif, de vous bousculer au moment du clic, ou de coller leur reniflard morveux sur les vitres auparavant transparentes. Donc sans lumière suffisante, sans support stable, et au milieu des troupeaux de croulants décrépits, inutile de vous dire qu'une photo sur deux est à jeter, merci les gars, super le droit de photographier, j'apprécie sincèrement votre généreuse bonté. Pis pour les photos de l'extérieur, alors comme il faisait un temps pas possible, qu'il faisait vraiment très très moche et qu'en plus on était assez pressé parce qu'on n'avait pas le temps, donc les photos de l'extérieur, ben il n'y en n'a pas.
Bien, commençons par quelques éléments historiques. Un jour, ils se rendirent compte que bon nombre d'objets culturels ou artistiques disparaissaient de Prague, et lorsque ces derniers étaient retrouvés, ils étaient en des mains privées, généralement étrangères (comme aujourd'hui, et il y en a velu à dire sur ce sujet mais une autre fois). De là, a germé l'idée fumante d'un musée pour y remiser de par vers là, le tout et le n'importe quoi du précieux fourbi praguois afin qu'il ne s'évapore plus du territoire. Ainsi ce sont des personnages illustres de la renaissance nationale comme "Miroslav Tyrš" (le fondateur des Sokol) ou l'historien "Václav Vladivoj Tomek" (dont l'oeuvre colossale "Děje království českého" -faits et vènements du royaume tchèque- me sert souvent de référence) qui en seront les instigateurs (de l'idée du musée). Signalons par ailleurs que vous trouverez souvent ce dernier nom orthographié "Wácslaw Wladiwoj Tomek" puisqu'il est né avant la (une des) réforme de l'écriture tchèque en 1849 ("Prawidla českého prawopisu, praktickými přijklady wyswětlená" deviendra "Pravidla českého pravopisu, praktickými příklady vysvětlená" mais je vous en parlerai aussi une autre fois). L'édifice, construit entre 1896 et 1898 à partir du "kavárenský pavilon" (pavillon de café?!), est de style néo-renaissance avec une avancée de façade surmontée d'un tympan néo-classique. Ca c'est pour les furieux de l'architectonique et je ne vous en dirai pas plus car le reste est dans tous les guides bien faits. Maintenant pour les furieux de l'anecdote, signalons que ce fameux tympan comporte un magnifique bas-relief de "Ladislav Šaloun" (la statue de Jan Hus sur la place de la vieille ville, le bas-relief du premier étage de la maison art-nouveau "Poetická vinárna "Viola", Národní 7/1011"), et qu'au sommet de ce tympan se trouve une statue, allégorie de la ville de Prague. Lors de la révolution de mai (soulèvement de la ville de Prague en mai 1945), un conducteur de char allemand croyant voir un insurgé armé fit feu et la détruisit complètement, l'andouille. Mais "Ladislav Šaloun" avait fait une maquette avant de faire la grande, la vraie, et c'est sur la base de cette miniature laissée à sa famille en héritage qu'un autre sculpteur reproduisit en 1985 une nouvelle copie que vous pouvez apercevoir aujourd'hui. Bon, et c'est tout pour l'extérieur. Si si, il y a encore d'autres statues, mais bon, je vous laisse lire votre guide bien fait, chuis sûr qu'il en parle mieux que moi.
Pis dedans, ben en dehors de la magnifique fresque panoramique de Prague, ben il n'y a pas grand-chose. Enfin si, les pièces exposées, mais je veux dire en terme architectural, genre inhérent à l'édifice c'est assez pauvre. En fait, même l'escalier d’où la magnifique fresque elle est au dessus de, ben si on le (l'escalier) compare au Musée National (derrière le cul du roussin à Venceslas) il fait "petit", caricatural, genre "sans plus". Alors bon, c'est sûr qu'on ne se parle pas de la même chose non plus, entre le musée national et le musée de la ville, mais quand même, le musée de la ville ça l'fait fichtrement moins.
Donc en dehors du bâtiment en soi, et dans les trucs positifs quand même, il y a la prodigieuse maquette de la ville de Prague faite par le peintre "Antonín Langweil" (1791 - 1837), le pauvre bougre. Un travail de dingue comme vous n'avez pas idée, sans dec, les bricolages d'Hercule à côté c'est du flan au chaud cola. Ca commença en 1829, lorsque l'Antoine ("Antonín") exposa quelques 600 maisons miniatures représentant plus de 3 ans de travail minutieux. L'accueil fut des plus favorables, et notre peintre poursuivit sa tâche en ajoutant la vieille ville et son quartier juif "Josefov". Puis hop, nouvelle exposition en 1831. Ouais, super, c'est beau, c'est bien fait, que tout le monde disait, mais ça ne servait à rien et surtout ça ne payait pas. Ben non, aussi notre artiste se retrouva vite dans le besoin. Il voulu vendre sa maquette que tout le monde admirait, mais personne n'en voulait. Ben tiens, et pour quoi faire? Puis la maladie et la mort finirent par avoir raison du pauvre gars en 1837. La veuve finit par réussir à vendre le modèle à l'empereur d'Autriche pour une bouchée de pain, et celui-ci en fit dont au musée du royaume en 1840. Emballé dans 9 caisses, sans mode d'emploi pour le montage, il n'en sortira qu'en 1862 et sera exposé à la mairie de Prague. Puis lors de la seconde guerre mondiale, on remballera la maquette dans ses 9 caisses afin d'éviter tout dommage. Compte tenu de la qualité des détails, les morceaux de la maquette (édifices) seront ensuite utilisés séparément par divers artistes, chercheurs et architectes (lors de la reconstruction de la chapelle Bethléem en 1952 par exemple). Enfin entre 1961 et 1969, des passionnés remettront la main sur la totalité de l'oeuvre, il la dépoussiéreront, la rénoveront afin qu'aujourd'hui vous puissiez à nouveau l'admirer. Cette création unique est d'une valeur artistique et historique inestimable car elle présente dans les moindres détails des édifices aujourd'hui disparus (en particulier dans le quartier juif entièrement détruit pour raisons sanitaires au carrefour du XIX ème et du XX ème siècle). Sur les 20m² de sa maquette, "Antonín Langweil" a peint et modelé (papier et carton) plusieurs milliers de bâtiments, respectant leurs tailles, leurs couleurs, leurs nombres de portes, de fenêtres et d'étages, leurs peintures en facade, leurs statues et leurs arcades, poussant le souci du détail jusqu'aux arbres et bosquets. C'est réellement unique et mérite le coup d'oeil.
Sinon les trucs permanents à voir encore: donc un Hercule en bronze (original) du sculpteur hollandais "Adrian de Vries", des statues en bois provenant généralement d'édifices religieux et dont les auteurs sont des génies tels "Ferdinand Maxmilián Brokoff", "Ignác František Platzer", "Jan Antonín Quitainer", ou encore "Jan Jiří Bendl". A voir aussi encore: quelques statuettes originales de la seconde moitié du XVII ème siècle qui ornaient l'horloge astronomique de la place de la vieille ville (auteur inconnu), et l'original (aussi) du calendrier de la même l'horloge de la vieille ville (le disque du bas tout rond) du fameux peintre "Josef Mánes".
Ensuite il y a des expositions temporaires. Nous, par exemple, on y a vu les peintures de "Jan Minařík" (1862 - 1937), exposition intitulée "Století na tváři města" (quelque chose comme "un centenaire sur le profil de la ville"). C'est vraiment bien. On y voit des peintures à l'huile (c'est difficile) de rues et bâtiments de Prague d'entre 1907 et 1911. Et pour matérialiser les changements, le photographe contemporain "Ondřej Polák" a pris des clichés du même endroit et sous le même angle que le peintre a peindu. C'est génial, on voit parfois de vraies différences (ou pas), on reconnaît des maisons (ou pas), des rues, vraiment trop fort, je vous le conseille. Par contre c'est jusqu'au 30 avril 2006, alors dépêchez-vous vite fait.
Bon, pis une fois qu'on a vu ça, ben le "Museum hlavního města Prahy" n'a plus grand-chose à vous offrir. Ni les environs d'ailleurs. Coincé entre l'autoroute "Wilsonova" et la gare centrale d'autobus "Florenc", ce pauvre musée n'est même pas à proximité raisonnable d'une honnête taverne, dingue. Alors attention, je vous parle du musée qui se trouve "na Florenci", rue "Na Poříčí 52". Parce qu'il y en a d'autres des baraques qui appartiennent au musée de la ville (regardez voir sur leur site), avec d'autres trucs à voir, mais les autres on ne les a pas vues, ni les baraques ni les expos, donc ma publie se limite vraiment au musée principal de la ville. Et donc ben voilà, alors comptez 2 heures de visite si vous êtes un passionné des breloques pas terribles (chuis vraiment dégueulasse ignoble avec ce pauvre musée :-) et moins si vraiment vous êtes entrés parce qu'il faisait froid dehors et qu'il pleuvait. Personnellement, je pense que j'irai me le refaire encore une fois, plus tard, quand il y aura une autre exposition temporaire (tant qu'à faire) pour me forger une opinion plus favorable.
Pour les photos du dedans, vous pouvez essayer d'en faire moyennant une petite contribution (50 CzK, soit quelques 1,67€). Mais je vous préviens de suite, ils font tout pour que vous n'arriviez pas en faire de bonnes, de photos réussies. D'abord vous ne pouvez pas utiliser le flash, il paraîtrait que ça abîmerait les pièces exposées, même les moches. Vous ne pouvez pas non plus utiliser un trépied, il paraîtrait que ça rayerait le parquet, même avec des petits caoutchoucs au bout des pieds, comme mon statif à moi. Et pour combler le tout, ils laissent rentrer des meutes entières de p'tits vieux béquillards et stropiés qui font rien que de passer devant l'objectif, de vous bousculer au moment du clic, ou de coller leur reniflard morveux sur les vitres auparavant transparentes. Donc sans lumière suffisante, sans support stable, et au milieu des troupeaux de croulants décrépits, inutile de vous dire qu'une photo sur deux est à jeter, merci les gars, super le droit de photographier, j'apprécie sincèrement votre généreuse bonté. Pis pour les photos de l'extérieur, alors comme il faisait un temps pas possible, qu'il faisait vraiment très très moche et qu'en plus on était assez pressé parce qu'on n'avait pas le temps, donc les photos de l'extérieur, ben il n'y en n'a pas.
Bien, commençons par quelques éléments historiques. Un jour, ils se rendirent compte que bon nombre d'objets culturels ou artistiques disparaissaient de Prague, et lorsque ces derniers étaient retrouvés, ils étaient en des mains privées, généralement étrangères (comme aujourd'hui, et il y en a velu à dire sur ce sujet mais une autre fois). De là, a germé l'idée fumante d'un musée pour y remiser de par vers là, le tout et le n'importe quoi du précieux fourbi praguois afin qu'il ne s'évapore plus du territoire. Ainsi ce sont des personnages illustres de la renaissance nationale comme "Miroslav Tyrš" (le fondateur des Sokol) ou l'historien "Václav Vladivoj Tomek" (dont l'oeuvre colossale "Děje království českého" -faits et vènements du royaume tchèque- me sert souvent de référence) qui en seront les instigateurs (de l'idée du musée). Signalons par ailleurs que vous trouverez souvent ce dernier nom orthographié "Wácslaw Wladiwoj Tomek" puisqu'il est né avant la (une des) réforme de l'écriture tchèque en 1849 ("Prawidla českého prawopisu, praktickými přijklady wyswětlená" deviendra "Pravidla českého pravopisu, praktickými příklady vysvětlená" mais je vous en parlerai aussi une autre fois). L'édifice, construit entre 1896 et 1898 à partir du "kavárenský pavilon" (pavillon de café?!), est de style néo-renaissance avec une avancée de façade surmontée d'un tympan néo-classique. Ca c'est pour les furieux de l'architectonique et je ne vous en dirai pas plus car le reste est dans tous les guides bien faits. Maintenant pour les furieux de l'anecdote, signalons que ce fameux tympan comporte un magnifique bas-relief de "Ladislav Šaloun" (la statue de Jan Hus sur la place de la vieille ville, le bas-relief du premier étage de la maison art-nouveau "Poetická vinárna "Viola", Národní 7/1011"), et qu'au sommet de ce tympan se trouve une statue, allégorie de la ville de Prague. Lors de la révolution de mai (soulèvement de la ville de Prague en mai 1945), un conducteur de char allemand croyant voir un insurgé armé fit feu et la détruisit complètement, l'andouille. Mais "Ladislav Šaloun" avait fait une maquette avant de faire la grande, la vraie, et c'est sur la base de cette miniature laissée à sa famille en héritage qu'un autre sculpteur reproduisit en 1985 une nouvelle copie que vous pouvez apercevoir aujourd'hui. Bon, et c'est tout pour l'extérieur. Si si, il y a encore d'autres statues, mais bon, je vous laisse lire votre guide bien fait, chuis sûr qu'il en parle mieux que moi.
Pis dedans, ben en dehors de la magnifique fresque panoramique de Prague, ben il n'y a pas grand-chose. Enfin si, les pièces exposées, mais je veux dire en terme architectural, genre inhérent à l'édifice c'est assez pauvre. En fait, même l'escalier d’où la magnifique fresque elle est au dessus de, ben si on le (l'escalier) compare au Musée National (derrière le cul du roussin à Venceslas) il fait "petit", caricatural, genre "sans plus". Alors bon, c'est sûr qu'on ne se parle pas de la même chose non plus, entre le musée national et le musée de la ville, mais quand même, le musée de la ville ça l'fait fichtrement moins.
Donc en dehors du bâtiment en soi, et dans les trucs positifs quand même, il y a la prodigieuse maquette de la ville de Prague faite par le peintre "Antonín Langweil" (1791 - 1837), le pauvre bougre. Un travail de dingue comme vous n'avez pas idée, sans dec, les bricolages d'Hercule à côté c'est du flan au chaud cola. Ca commença en 1829, lorsque l'Antoine ("Antonín") exposa quelques 600 maisons miniatures représentant plus de 3 ans de travail minutieux. L'accueil fut des plus favorables, et notre peintre poursuivit sa tâche en ajoutant la vieille ville et son quartier juif "Josefov". Puis hop, nouvelle exposition en 1831. Ouais, super, c'est beau, c'est bien fait, que tout le monde disait, mais ça ne servait à rien et surtout ça ne payait pas. Ben non, aussi notre artiste se retrouva vite dans le besoin. Il voulu vendre sa maquette que tout le monde admirait, mais personne n'en voulait. Ben tiens, et pour quoi faire? Puis la maladie et la mort finirent par avoir raison du pauvre gars en 1837. La veuve finit par réussir à vendre le modèle à l'empereur d'Autriche pour une bouchée de pain, et celui-ci en fit dont au musée du royaume en 1840. Emballé dans 9 caisses, sans mode d'emploi pour le montage, il n'en sortira qu'en 1862 et sera exposé à la mairie de Prague. Puis lors de la seconde guerre mondiale, on remballera la maquette dans ses 9 caisses afin d'éviter tout dommage. Compte tenu de la qualité des détails, les morceaux de la maquette (édifices) seront ensuite utilisés séparément par divers artistes, chercheurs et architectes (lors de la reconstruction de la chapelle Bethléem en 1952 par exemple). Enfin entre 1961 et 1969, des passionnés remettront la main sur la totalité de l'oeuvre, il la dépoussiéreront, la rénoveront afin qu'aujourd'hui vous puissiez à nouveau l'admirer. Cette création unique est d'une valeur artistique et historique inestimable car elle présente dans les moindres détails des édifices aujourd'hui disparus (en particulier dans le quartier juif entièrement détruit pour raisons sanitaires au carrefour du XIX ème et du XX ème siècle). Sur les 20m² de sa maquette, "Antonín Langweil" a peint et modelé (papier et carton) plusieurs milliers de bâtiments, respectant leurs tailles, leurs couleurs, leurs nombres de portes, de fenêtres et d'étages, leurs peintures en facade, leurs statues et leurs arcades, poussant le souci du détail jusqu'aux arbres et bosquets. C'est réellement unique et mérite le coup d'oeil.
Sinon les trucs permanents à voir encore: donc un Hercule en bronze (original) du sculpteur hollandais "Adrian de Vries", des statues en bois provenant généralement d'édifices religieux et dont les auteurs sont des génies tels "Ferdinand Maxmilián Brokoff", "Ignác František Platzer", "Jan Antonín Quitainer", ou encore "Jan Jiří Bendl". A voir aussi encore: quelques statuettes originales de la seconde moitié du XVII ème siècle qui ornaient l'horloge astronomique de la place de la vieille ville (auteur inconnu), et l'original (aussi) du calendrier de la même l'horloge de la vieille ville (le disque du bas tout rond) du fameux peintre "Josef Mánes".
Ensuite il y a des expositions temporaires. Nous, par exemple, on y a vu les peintures de "Jan Minařík" (1862 - 1937), exposition intitulée "Století na tváři města" (quelque chose comme "un centenaire sur le profil de la ville"). C'est vraiment bien. On y voit des peintures à l'huile (c'est difficile) de rues et bâtiments de Prague d'entre 1907 et 1911. Et pour matérialiser les changements, le photographe contemporain "Ondřej Polák" a pris des clichés du même endroit et sous le même angle que le peintre a peindu. C'est génial, on voit parfois de vraies différences (ou pas), on reconnaît des maisons (ou pas), des rues, vraiment trop fort, je vous le conseille. Par contre c'est jusqu'au 30 avril 2006, alors dépêchez-vous vite fait.
Bon, pis une fois qu'on a vu ça, ben le "Museum hlavního města Prahy" n'a plus grand-chose à vous offrir. Ni les environs d'ailleurs. Coincé entre l'autoroute "Wilsonova" et la gare centrale d'autobus "Florenc", ce pauvre musée n'est même pas à proximité raisonnable d'une honnête taverne, dingue. Alors attention, je vous parle du musée qui se trouve "na Florenci", rue "Na Poříčí 52". Parce qu'il y en a d'autres des baraques qui appartiennent au musée de la ville (regardez voir sur leur site), avec d'autres trucs à voir, mais les autres on ne les a pas vues, ni les baraques ni les expos, donc ma publie se limite vraiment au musée principal de la ville. Et donc ben voilà, alors comptez 2 heures de visite si vous êtes un passionné des breloques pas terribles (chuis vraiment dégueulasse ignoble avec ce pauvre musée :-) et moins si vraiment vous êtes entrés parce qu'il faisait froid dehors et qu'il pleuvait. Personnellement, je pense que j'irai me le refaire encore une fois, plus tard, quand il y aura une autre exposition temporaire (tant qu'à faire) pour me forger une opinion plus favorable.
Commentaires
rien de transcendant certes mais à signaler le personnel aimable et poli. On n'arrivait pas à y croire tellement c'est rare. Alors, ça vaut le détour!
effectivement le modèle d'Antonin Langweil est interessant mais pour le truc en 3d on est trop près, c'est limite la nausée à certains moments