Ville: V Praze 1 bydlím rád

Et donc ça, disons que c'était un non-évènement, ou alors un truc... bon, ouais, gentil mais sans plus, genre il n'y avait pas de quoi chavirer d'enthousiasme. Alors pourquoi je vous en parle, me direz-vous, alors que j'ai des kilotonnes de mètres de trucs vachement intéressant à vous dévoiler? Ben d'abord parce que les photos des kilotonnes de mètres de trucs vachement intéressants que j'ai à vous dévoiler ne sont pas prêtes (les photos), et qu'ensuite je me suis promis à moi-même de vous parler de tout, des trucs bien comme des trucs rien, enfin pas top...

Alors on s'est dit, hein, allons-y parce que ça pourrait être sympa. Et donc le truc se passait le week-end du 11 et 12 février, parce que le 12 février 1784, pour ceux qui ne le sauraient pas, il y eu par décret le regroupement des 4 villes ("Hradčany", "Malá strana", "Staré město+Josefov" et "Nové město") en une seule et unique ville royale de Prague ("Královské hlavní město Pražské"), qui aujourd'hui représente Prague 1 (1er arrondissement de Prague). Ca tombait bien cette année, la fête était pour la première fois, et ça tombait en week-end. Je me demande s'ils vont le faire en semaine quand ça tombera mal, parce que ça va fichtrement limiter le pékin ordinaire. Enfin on verra… avec un peu de chance ça va se goupiller comme le lundi de Pâques, un samedi :-)

Et ils en avaient fait de la pub de partout, les trams, les bus, les murs, les pancartes, et le tout sous le claim, enfin l'annonce, comment qu'on dit, l'appellation "V Praze 1 bydlím rád" soit en toute modestie "à Prague 1, j'habite heureux". Ouais, c'est vraiment heureux comme annonce quand on sait que le populo habite à Prague 56 parce que Prague 1 est hors de prix.
Ah pour sûr ils ne s'en vantent pas de livrer le centre ville aux promoteurs immobiliers qui transforment le moindre mètre carré en habitat luxueux pour étrangers friqués, en centre commercial au centre ville pour étrangers friqués, ou en bureau haut de gamme pour entreprises étrangères embauchant des étrangers friqués. Et parfois, quand ils ne font pas gaffe, alors ça devient un restaurant (genre italien, français, japonais, t'as poné…) top classe (d'apparence) pour étrangers friqués. Inutile de vous parler des prix... de la qualité… bref… parce c'est con un étranger à Prague parfois, enfin con, disons qu'il se comporte (parfois) comme un con. Attention, je ne dis pas ça pour vous, excusez-moi, mais les autres, sérieux c'est vraiment grâve parfois.

Tiens permettez-moi d'ouvrir une parenthèse, genre anecdote réelle (éloignez-les enfants, c'est pas une rigolote celle-là, d'anecdote). J'ai une copine... oui je sais, vous aussi... laissez-moi terminer quoi... j'ai une copine donc, dont je tairai le nom parce que ça n'a aucune importance, qui se fait un peu d'argent (beaucoup) avec des Brits (les pauvres, c'est toujours eux qui prennent mais c'est pas ma faute.
Non, les Allemands aussi des fois, enfin tout le monde prend parfois). Les gaillards s'organisent à partir de leur île funeste des virées à Prague dont le seul but est de boire sans soif et de baiser sans envie. La petite, anglophone forcément, parce qu'un Brit (à part quelques exceptions) ça ne parle pas autrement que Brit (déjà quand ça parle...) récupère à l'aéroport la sinistre équipe de furieux bedonnants, les prend par la main (chacun) et les conduit à l'hôtel. Ces grosses fiâsses jettent leurs fringues, leurs bardas et leurs rechanges (quand ils en ont, parce que généralement, pour un week-end, hein, attends, un slip sur soi et des chaussettes sur soi, ça va bien le faire quelques jours)... donc quand ils en ont, et hop, tout le monde au pub (pour un pub crawl). La petite les emmène donc de bar en taverne, principalement pub irlandais, bar anglais, taverne galloise, ou brasserie écossaise (où la bière coûte le double du prix d'une taverne locale) mais surtout pas tchèque (ou rarement parce qu'ils sont mal vus, bourrés comme des coings et brayant comme un Prussien à Trafalgar), et une fois bien murgés ronds (comme les anglais savent faire), ils se terminent au clandé pince-cul.
La petite reste au bar, boit gratuitement (offre attentionnée de la maison pour rabattage de clientèle), lit un bouquin pendant 1/4 d'heure et touche ... CzK (je ne peux pas dire le montant) pour chaque anglais qui a payé sa place avec une pauvre trimardeuse (et on lui retire ... CzK pour chaque anglais qui renarde au plumard :-) mais non, je déconne) Alors quand je dis 1/4 d'heure, c'est parce que généralement ces foutres d'oiseaux sont dans un tel état que... enfin bref. Pis elle ramène son troupeau beuglant, dégobillant, titubant (et parfois dessus se faisant) dans leur hôtel où ils font le bonheur des femmes de ménages ukrainiennes le lendemain matin. Mais c'est pas grave, c'est payé d'avance avec de vraies livres anglaises. Et ça, c'est du vendredi soir au dimanche après-midi, parce que les conneries, malheureusement faut bien que ça cesse un jour. Et donc les lurons, super, ils ont été à Prague, ils ont bu dans des pubs anglo-gallo-irlando-écossais, ils ont fourré (essayé tout au moins) dans des clandés mafieux serbo-russo-ukrainien avec des marmites roumano-bulgaro-albanaises, et en repartant, les fichtres vous diront soit qu'ils adorent Prague, que c'est une ville fantastique quand tout s'est bien passé, soit que c'est une ville de m... avec des habitants de m... quand ils se sont fait tirer leur fric (parce que trop murgés) par les morues étrangères ou casser la gueule (parce que trop cons) par les maquereaux mafieux.
Et ma copine, dont je tairai le nom parce que ça n'a aucune importance, paye ses études ainsi. Après tout ouaille not, hein? Allez-hop, fin de parenthèse, l'était longue celle-là.

Donc tout ça pour dire qu'à Prague 1, j'habite heureux, oui, mais parce que je le paye bien. Pis ceux qui peuvent pas se le payer, ben c'est à Prague 56 qu'ils habitent. Puis tiens, si jamais vous avez envie de visiter Prague 1… hein, un jour, alors dépêchez-vous parce qu'à la vitesse que ça se presse, il n'y aura plus un seul Tchèque dans le centre ville, plus une seule taverne tchèque, plus un seul restaurant tchèque, même plus de Prague tchèque (investisseurs étrangers, forcément).

Ah mais si, enfin ils ont quand même fait un truc génial pour les résidents Tchèques de Prague 1. Oui, il faut quand même le signaler, il y avait des concerts, des musées, des expos sur Prague 1, et tout ça c'était soit gratos (pour tout le monde), soit avec réduction pour les habitants de Prague 1. Alors déjà précisons que les habitants de Prague 2, 3 ou même 56 n'y avaient pas droit aux réducs. Ben tiens, z'ont qu'à habiter Prague 1, eh alors? Maintenant me demanderez-vous "et comment qu'on reconnaît un habitant de Prague 1?" Alors l'habitant de Prague 1 porte une fourrure en visons (ou bisons, au choix), une chapka en poil de bête en voie de disparition (accessoirement du poil de citadin tchèque de Prague 1), des rubis sur l'ongle et des bagouzes en or sur chaque doigt dont le poids total ne doit pas être inférieur à 200g… ah et serties et crustées de diamants les bagouzes, du sérieux mon bon m'sieur :-) Non je déconne, c'est pas comme ça qu'on reconnaît l'habitant de Prague 1, non, l'habitant de Prague 1 est détenteur d'une carte d'identité portant mention "trvalé bydliště Praha 1" (adresse permanente Prague 1).
Et attention, parce qu'alors là, avec une telle mention sur la carte d'identité, c'est comme bouffer chez ma Xim's avec le club du "rote Harry!", ça en bouche un coing (ou une poire) grave au mec qui lit. C'est bien simple, même les condés quand ils voient que vous avez "Prague 1" sur la carte d'identité, ils s'excusent de vous demander pardon, vous rendent la carte immédiatement sans vous demander vos papiers et vous laissent repartir avec 3 grammes dans le sang et la charogne décomposée de votre belle-mère en vue sur le siège du passager. Et donc cette histoire là, d'adresse permanente, ça remonte au temps de la dictature du prolétariat des con-munistes SSSRophiles.
A cette époque il fallait obligatoirement habiter quelque part parce que chômeur SDF même de micro durée c'était totalement hors la loi, et ce "quelque part" devait être dûment et prestement déclaré aux autorités compétentes afin qu'icelles puissent venir en pleine nuit vous cueillir au bon endroit après que, légèrement éméché, vous eûtes chuchoté dans la taverne du quartier qu'une hypothèse plausible tendrait à imputer la mort du Kamarade Lénine à une maladie honteuse.
Or comme le passé bureaucratistico-paperassier de notre petite République bénéficie d'une rémanence insoupçonnée et largement entretenue par la clique d'incapables majoritairement issus dudit passé, eh bien aujourd'hui encore, tout citoyen est sensé posséder une adresse permanente mentionnée sur tous ses documents officiels. Et c'est pas comme en France, où lorsque vous arrivez avec une facture de téléphone plus une facture de gaz à votre nom, l'on vous accorde la domiciliation à l'adresse correspondante, non non, ici c'est vachement plus compliqué. D'abord la loi est formelle sur cet aspect des choses issu comme je disais du passé bureaucratistico-paperassier de la dictature: "Le citoyen de la République Tchèque ne peut avoir qu'un seul lieu de résidence permanente sur notre territoire, et ce, dans un lieu prévu à effet d'habitation, d'hébergement ou de loisir et localisé par un numéro descriptif, d'enregistrement ou d'orientation". Je vous passe les détails de tous ces numéros, mais ça servait à nouveau aux sbires de la kommandantur für Staatssicherheit. Premièrement et compte tenu des dispositions mentales des membres du KGB, 3 numéros n'étaient pas de trop pour qu'ils trouvent approximativement une adresse, et deuxièmement avec 3 numéros, cela multipliait la probabilité de vous trouver précisément là où vous habitiez (non pas qu'ils auraient eu des réticences à coffrer des innocents, mais d'inconsolables regrets à ne pas avoir trouvé le subversif contre révolutionnaire suppôt de l'impérialisme américain).

Bon, mais me direz-vous qu'il suffit donc de s'inscrire en tant que résident de Prague 1, et hop, le tour est joué? Ben non, parce que premièrement et comme spécifié ci-dessus vous ne pouvez avoir qu'un et un seul lieu de résidence principale. Or celui-ci vous donne droit aux allocations locales (loyer modéré pour l'habitation principale...), vous devez (et non pouvez) y régler toute l'administration (carde d'identités, permis de conduire, passeport...), et à cet endroit vous irez voter. Aussi quelqu'un qui habite à "Oùkyapad'boulo" avec toute sa famille, mais qui travaille toute la semaine à Prague (où qu'il y en a, du boulot) ne peut donc pas, pour d'évidentes raisons, être résident de Prague 1. Bon, et bien pourquoi ne pas déclarer une résidence secondaire? Ben parce que ça ne sert à rien, puisque ça ne vous donnera pas le droit aux réducs des résidents de Prague 1. Bref tout ça pour dire, merci Monsieur le maire "Vladimír Vihan", sachez que personnellement j'y réside à Prague 1, j'y fais mes courses, j'y consomme (et beaucoup), mais que parce que ma carte d'identité ne porte pas la mention magique, je n'ai pas eu droit aux réductions. Réductions du reste dont je me fous, mais c'est pour le principe, vous savez, la "préférence municipale" ça sonne bizarre à mes oreilles.
Tiens et justement vu qu'on en parle, je me demande si c'est bien légal votre affaire là Monsieur le maire? Je me demande comment réagirait La Commission si elle apprenait que vous pratiquez la discrimination municipale? C'est bien gentil de dire que la municipalité de Prague 1 sponsorise les évènements à prix réduits, et que donc les résidents ont plus le droit d'en profiter. Maintenant j'aimerais connaître de combien toute la ville de Prague, l'état Tchèque et l'Union Européenne sponsorisent votre municipalité, hein... alors... petit mesquin!

Bref, alors on y est allé, et le tout premier truc qu'on y a vu, c'était des festivités à "Kampa, tradiční staropražská veselice" (festivités traditionnelles de la vieille Prague). Sympa, genre musique populaire, saucisses, vin chaud et crottes de chiens, mais bon, c'est chaque semaine pratiquement pareil et y a juste le nom qui change. Alors on s'est dit allez, hop, on se le pousse. Et l'on a continué par le "Multifunkční hřiště Na Františku" (le terrain de jeu multifonction, à Františku). Et je vous livre un scoop, j'étais sur des patins à glace pour la première fois de ma vie, et oui, c'est dingue… et même pas tombé, parce que je suis un fanamateur de rollers, alors forcément, le patin à glace, ça aide, le roller je veux dire, pour en faire, du à glace.
Pis c'était gratos, la location, alors c'était le moment ou jamais (merci Monsieur le Maire de Prague 1, Monseigneur est bon, touchez ma bosse Monseigneur, elle vous portera chance pour les élections de Juin). Mais faut dire aussi que les chaussures, bien que neuves, étaient, comment dire... c'est sûr que je ne suis pas un connaisseur de patin à glace, mais à vue de nez même bouché par le rhume, ça ne doit pas être si différent que ça par rapport aux patins en ligne, genre. Je serais assez surpris que les petites mignonnes qui font des pirouettes cacahuètes moulinettes super chouettes en tutu rose devant la téloche chaussent des sabots en bois? Parce que c'est l'impression désagréable que j'avais, des sabots en bois rigides comme les Vangiles (le nouveau test amant), impossible à serer alors que je tirais sur ces couillons de lacets comme un mamelouk sur la bride de son chameau emballé. Rien n'y fit, mes pieds flottaient allégrement dedans le chausson, exactement comme on le déconseille aux débutants dans tous ces sports où le pieds doit être fermement maintiendu. Et j'avais la bonne taille (de chaussures), si si. Enfin j'y suis allé, même pas tombé, et au bout de 30 minutes à tourner dans le même sens comme un derviche belge dans un bocal qui cherche une frite dans le coin, j'ai considéré qu'il était temps de passer à autre chose. L'autre chose fut le musée de l'agriculture, mais je vous en parlerai une autre fois.

Puis dimanche, nous primes part à l'un des évènements les plus marquants de la ville de Prague, et croyez-moi, les 2 premières défenestrations ou les inondations de 2002 à côté, c'était du kiki de chat. Il s'agissait de faire péter sur la place de la vieille ville le plus grand nombre de ballons de baudruche à la fois pour rentrer dans le livre "qui n'est-ce des encore?" (qui viennent nous casser les c...). Sans dec, le gars qui a planché sur un sujet aussi monstrueusement démentiel à la mairie de Prague pendant je ne sais combien de jours, et fut payé pour faire ça je ne sais combien de couronnes, devrait assurément y figurer en bonne place dans le Guinness des records. Chuis scié. Rendez-vous fut donné à la population en délire à 16h pétante, même sensiblement avant d'ailleurs histoire de récupérer les ballons et les cures dents prévus à cet effet et sponsorisés (les ballons) par la société... (eh attends, vous ne pensez tout de même pas que je vais lui faire de la pub gratuite dans mon blog, à la société?) Quand nous arrivâmes, la place était noire de monde (je déconne :-), et l'animateur chauffait l'assistance de son discours frénétique invitant tout le monde, de Prague 1 ou pas, les touristes ou pas, les jeunes, les vieux, les hommes, les femmes, les blancs, les jaunes, les noirs, les chrétiens, les juifs, les musulmans (si si) et les vieux martiens chrétiens noirs y compris, à venir participer à l'extraordinairement unique (il nique?) manifestation.
Ma chérie d'amour, mon gnafron adoré et moi-même prirent comme tout le monde des ballons, on avait même droit à plusieurs ballons (mais un seul cure-dent) histoire de vraiment rentrer pleins-pieds (jeux de mots bougrement adroit pour francophones avertis, chuis assez fier de moi :-) dans ce fameux livre des records. Puis le maire de Prague 1, Monsieur "Vladimír Vihan" prit la parole pour s'adresser à la foule: "Chers concitoyens de Prague 1 ou pas, chers touristes ou pas, chers jeunes, chers vieux, chers hommes, chères femmes, chers blancs, chers jaunes, chers noirs, chers chrétiens, chers juifs, chers musulmans (si si) et cherchez l'erreur" il rit un grand coup, et reprit "non je déconne... c'est avec une joie incommensurable, la voix à l'oeil et la larme tremblante d'émotion..." et tsétéra, et tsétéra... Pis arriva le décompte pour le pétage des ballons qui devait intervenir au top pour le mieux et au plus tard dans les 10 secondes du top. Cent, quatre-vingt-dix-neuf, quatre-vingt-dix-huit... cinquante, quarante-neuf... trois, deux, un, top!
Et paf paf paf et PAF! Ca pétait tellement de partout que les pigeons affolés s'envolèrent de la place non sans laisser au maire un bulletin de vote blanc sur son épaule. Pis il y eu ramassage des pluchures de ballons par les chéries prévues à cet effet, non pas par bienveillante écologie mais pour les compter, car le décompte du nombre de ballons qui ont pété en même temps (enfin en 10 secondes) se faisait sur la base des carcasses gentiment rendues par les participants (ou ramassés par terre, eh attends, pour gagner, hein...). Et quelques jours plus tard nous pouvions fièrement lire dans la presse locale et nationale, qu'après Hong Kong l'année dernière avec 2477 minables petits ballons pétés en un endroit au même instant, la ville de Prague prenait fièrement la première place mondiale dans le livre mondial des records mondiaux avec le nombre mondial de 3158 ballons de baudruche pétés en un endroit au même instant.
Sans dec, je ne regrette pas d'y avoir été. Mais qu'est-ce que j'aurais comme histoires incroyables à raconter à mes petits enfants quand ils viendront tendrement s'asseoir sur mes genoux gâteux au coin du feu, une fois à la retraite? Et attention, parce que si les touristes vieux, jaunes et juifs n'étaient pas partis avec les ballons croyant que c'était cadeau comme chez Mac Do, que les touristes jeunes, noirs et chrétiens ne les avaient pas lâché croyant que c'était comme en 2000 à l'élection de George Deubeuliou Bush au Texas, ben on en serait à beaucoup plus de ballons pétés, sans dec, si les gens savaient au moins un peu parler Tchèque, j'te jure... Avant de partir je voulais encore m'entretenir avec le maire de Prague 1 pour savoir si, le fait que des non-résidents de Prague 1 (et même des étrangers) avaient potentiellement permis à sa ville d'accéder à cette place mondiale, ne lui posait pas un cas de conscience, mais les "papa j'ai soif" de mon trésor et les "laisse Germaine" de ma chérie m'en ont dissuadé.

Bon allez, c'est vrai que je suis un peu revêche avec ce non-évènement des jours de Prague 1, c'est vrai que bon, après tout c'était la première fois et que ce sera certainement mieux la prochaine (fois), dans un an (notez-bien la date des jours de Prague 1), mais d'un autre côté aussi, faire autant de foin sur un truc aussi creux, bon, ben s'cusez-moi aussi, mais faut dire ce qui est non? Et tu vois "Vláďo", je n'ai peut être pas de résidence officiellement permanente dans ton arrondissement, mais avec le nombre de fois où j'ai cité Prague 1, je devrais au moins rapidement figurer en bonne place dans le référencement de Google :-) Eh...

Commentaires

Anonyme a dit…
De toute façon, j'ai pas de regrets pour les réductions : j'habite Prague 2...
Strogoff a dit…
:-) Ouais, moi non plus j'ai pas de regrets, parce que pour ce que c'était réduit... genre aumone pour les miséreux. N'empêche que pour le principe, moi j'dis quand même que réductions réservées aux résidents de Prague 1, c'est pas cool, pour le principe.

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