Ailleurs: Klášter de Klášter, et ce n'est pas un juron

C'est ça le truc fantastique d'avec la Bohême (mais sans doute d'avec d'autres régions du monde aussi), c'est que vous avez beau vous perdre n'importe où sans le vouloir (ou même en le voulant), dans le fin fond du trou d'un bout reculé de coin perdu, et bien z'allez à coup sûr vous prendre les pieds dans un fourbi historique d'apparence anodine et pourtant d'importance certaine pour peu que vous grattiez au-delà (de la surface d'apparence anodine). Exemple. Alors qu'on s'en roulait serein avec ma chérie d'amour en direction de la ruine du château de "Landštejn" dans le cadre d'une virée hautement culturelle rendue possible par le pont fort opportun du 1er mai 2008, nous passâmes providentiellement à proximité de ce dont on avait lu l'existence la veille tandis qu'on s'en planifiait les excursions du lendemain devant quelques chopines de "Prazdroj" : le "klášter" de "Klášter...